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Quels espoirs nourrissez-vous pour l’avenir de la profession d’urbaniste ?

J’aimerais voir davantage de citoyens urbanistes participer à l’amélioration de leur propre communauté, s’instruire mutuellement sur les composantes d’espaces inclusifs et accueillants. Je souhaite voir les professions œuvrer davantage ensemble pour atteindre des objectifs communs — 2020 nous a montré tout ce que les professionnels de la santé publique et les urbanistes peuvent accomplir pour mettre en place de meilleures infrastructures pour les piétons et les cyclistes et fournir des services de santé.

Quels sont quelques-uns de vos endroits préférés ?

La digue de Vancouver, la rue Bloor à Toronto et la vue sur le port d’Halifax depuis le Dingle. À l’international, la vallée du Douro à Porto et le Magere Brug à Amsterdam.

Quelle personne vous a le plus inspiré dans votre pratique urbanistique ?

Sans aucun doute, Penny Gurstein, ma superviseure au SCARP de l’UBC. Ses conseils avisés et soutenus m’ont guidée pendant 16 ans.
 
Y a-t-il autre chose que nous devrions savoir sur vous ?

Pour moi, l’urbanisme consistera toujours à rendre nos communautés plus belles, plus inclusives et plus durables. La façon dont nous y parvenons, avec les partenaires que nous choisissons, reste la meilleure.