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Quels espoirs nourrissez-vous pour l’avenir de la profession d’urbaniste ?
J’espère que la profession d’urbaniste contribuera toujours autant aux efforts de réconciliation avec les communautés autochtones du Canada par l’établissement de relations, la réciprocité et l’apprentissage continu. J’envisage également que les urbanistes jouent un rôle clé dans la réponse aux changements climatiques afin d’aider les villes, les villages, les collectivités autochtones et les régions rurales à s’adapter aux impacts uniques auxquels chaque milieu sera confronté au cours des prochaines années.
Quels sont quelques-uns de vos endroits préférés ?
Je suis un grand passionné des espaces publics et verts des centres-ville. Ces espaces suscitent tant de créativité et de réflexion que je ne peux m’empêcher de m’en inspirer dans mes propres travaux. Je pense notamment aux nouveaux parcs de l’East Village à Calgary et au parc Trillium à Toronto (j’adore regarder les avions atterrir !).
Quelle personne vous a le plus inspiré dans votre pratique urbanistique ?
J’ai eu le grand privilège de côtoyer Wayne Caldwell tout au long de ma carrière d’urbaniste et ce fut une bénédiction. Il continue à me guider, à me soutenir et à m’inspirer dans mon travail et j’espère, dans une certaine mesure, pouvoir en faire profiter la prochaine génération d’urbanistes.
Y a-t-il autre chose que nous devrions savoir sur vous ?
Je vis à Calgary avec ma compagne (Danielle) et mes deux filles (Sofia et Margot). En dehors des fréquents moments passés au parc ou dans la nature avec mes enfants, j’aime meubler mes temps libres en jouant au frisbee ultime, au squash, au basket-ball, en faisant de la randonnée ou toute autre activité qui nécessite de bouger.