Quels espoirs nourrissez-vous pour l’avenir de la profession d’urbaniste ?
J’espère que la profession continuera de prôner avec courage et audace des changements positifs dans les collectivités partout au Canada, en particulier dans les collectivités autochtones, afin d’en assurer l’autonomie. Dans quelle autre profession peut-on être rémunéré pour être à la fois rêveur et réalisateur ?
Quels sont quelques-uns de vos endroits préférés ?
Fan Tan Alley à Victoria, Pearl District à Portland et Royal Mile à Édimbourg.
Quelles personnes vous ont le plus inspiré dans votre pratique urbanistique ?
Larry Beasley et Ann McAfee pour avoir préparé le terrain dans la ville de Vancouver, et tous les élus qui ont dû composer avec des valeurs et des intérêts divergents dans le cade de décisions difficiles qui s’imposaient pour faire avancer leur collectivité.
Y a-t-il autre chose que nous devrions savoir sur vous ?
Cela fait quelques années maintenant, mais j’avais l’habitude d’enfiler un kilt et de jouer de la caisse claire dans un corps de cornemuses. Qui sait ? Peut-être le referais-je dans un avenir proche.