Quels sont vos espoirs pour l’avenir de la profession d’urbaniste?

La profession a toujours su s’adapter à l’évolution des attentes et aux défis du monde contemporain.  Le monde a besoin que la profession sache croître et murir et devienne une chef de file et une rassembleuse, non seulement dans nos collectivités, mais aussi à l’échelle nationale et internationale.  Une profession solide et bien ancrée signifie que nous pouvons faciliter l’amélioration continue de nos milieux de vie et la qualité de vie de ceux et celles qui les habitent.      
 
Quels sont quelques-uns de vos lieux favoris?
 
J’aime tous les endroits qui ont un caractère unique.  Pour ne nommer que ceux-là, Calgary en Alberta, le marché Kensington à Toronto, le Mission District de San Francisco et la Rambla de Barcelone.
 
Quelle est la personne qui a le plus influencé votre travail d’urbaniste?
 
Frank Lloyd Wright m’inspire à avoir une conception holistique de l’urbanisme. Il nous rappelle que l’on ne peut prendre des décisions sans tenir compte des répercussions plus vastes. Tenir compte de la façon dont des décisions ou des éléments individuels influent sur la situation plus globale nous permet de mieux améliorer et intégrer le milieu existant.         
 
Autre chose que nous devrions savoir de vous?
 
Je reconnais l’importance d’une profession urbanistique forte et je veux travailler avec les membres et les AIPT pour poursuivre la recherche d’occasion de créer de la valeur tant pour la profession que pour l’ensemble de la société.

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