Région 1: BC/YT

Dans le cadre de mon travail avec le PIBC, j’ai contribué aux premiers travaux de l’ICU sur la portée de la pratique et sur la création du PSB et du PSC. Pendant mon mandat de président du PIBC, j’ai travaillé à l’établissement de liens avec les agences gouvernementales et la communauté locale de développement. J’ai également eu le grand plaisir de travailler en tant que professeur adjoint, conférencier invité et mentor pour de nombreux étudiants en urbanisme.

Je suis connue pour ma capacité à prendre des données complexes et des concepts techniques et à les communiquer de manière accessible. Grâce à mes recherches et à mes présentations, j’aide divers publics à comprendre les relations entre l’évolution démographique, l’économie, l’utilisation des sols, l’urbanisme et le développement. Je pense qu’une telle façon de raconter des histoires et de communiquer serait un atout pour le conseil d’administration qui s’efforce de renforcer l’influence de la profession. Je me réjouis de l’occasion qui m’est donnée d’apporter mon expérience, mon point de vue et mon engagement au conseil d’administration de l’ICU.

Biographie :

Andrew est un défenseur de la planification communautaire et des urbanistes depuis une vingtaine d’années et est actuellement vice-président des services consultatifs pour le groupe rennie à Vancouver. Chez rennie, Andrew fournit un soutien analytique et stratégique en matière d’urbanisme aux promoteurs immobiliers, aux investisseurs, aux détaillants, aux gouvernements locaux et provinciaux, aux sociétés d’État et aux organismes publics. Dans le cadre de ce travail de conseil, il a effectué des recherches, rédigé des articles et présenté des exposés sur des sujets allant de l’évolution démographique et du comportement des consommateurs au développement régional et à la planification des collectivités locales. Andrew est titulaire d’un baccalauréat en géographie urbaine et économique et d’une maîtrise de la School of Community and Regional Planning (SCARP) de l’Université de la Colombie-Britannique.

En tant que directeur général de l’organisme à but non lucratif Urban Futures Institute (créé en 2001), il mène des recherches accessibles au public sur des sujets allant de l’évolution de la main-d’œuvre et de la gestion des ressources humaines au logement, à la santé et au vieillissement des populations. La plupart de ces recherches sont menées sous l’angle de la question suivante : comment ces sujets se reflèteront-ils dans les changements communautaires? En suivant le fil de cette question, Andrew a également enseigné à l’université de Colombie-Britannique (Quantitative Analysis for Planners) et est souvent invité à donner des conférences à l’université Simon Fraser, au British Columbia Institute of Technology et à l’université de l’île de Vancouver.

Sa longue implication dans l’ICU et le PIBC, d’abord à titre de représentant des étudiants de la SCARP en 1999 et de président du PIBC en 2018, puis de secrétaire-trésorier et de président du comité des membres du PIBC, et enfin de représentant au comité des normes professionnelles de l’ICU, démontre son engagement inébranlable envers le domaine de l’urbanisme et son développement.

En fin de compte, je vois cela comme une opportunité de rendre à une profession qui m’a tant donné. Je veux contribuer à inspirer et à soutenir la prochaine génération d’urbanistes, en veillant à ce que davantage de personnes considèrent l’urbanisme comme une carrière importante et ayant un impact. En renforçant le rôle de l’urbanisme dans la création de communautés résilientes, inclusives et durables, j’espère contribuer à une profession florissante qui continue d’évoluer et de répondre aux besoins de notre société.

Biographie :

Je suis une urbaniste professionnelle agréée, orientée vers les solutions, qui se consacre à l’amélioration du travail de planification et de politique par le biais d’une prise de décision fondée sur les données. Mon expertise couvre la politique du logement, la gestion de l’utilisation des terres et la gestion de projets pour des initiatives d’urbanisme majeures. Au cours des sept dernières années passées à la ville de Kelowna, je me suis imposée comme un leader dans ce domaine, en soutenant la plus récente mise à jour du plan communautaire officiel de Kelowna, en dirigeant l’évaluation primée des besoins en logement 2021-2031 de la ville et, plus récemment, en gérant la série d’initiatives de Kelowna dans le cadre du Fonds d’accélération du logement.

Au-delà de mon travail quotidien, je suis profondément engagée dans la profession d’urbaniste. Au cours des cinq dernières années, j’ai participé activement à la section locale du Planning Institute of British Columbia (PIBC), dont deux années en tant que présidente de section. À ce titre, j’ai mis au point et dirigé divers événements d’apprentissage et de réseautage, favorisant ainsi le renforcement des liens et des compétences au sein de la communauté locale des urbanistes.

Je me considère comme un apprenant permanent, façonné par mes études à l’UBC Okanagan et à l’université Simon Fraser. L’un des aspects les plus gratifiants du métier d’urbaniste est la possibilité de participer à divers projets et d’élargir continuellement mes connaissances. En particulier, je me consacre à l’approfondissement de ma compréhension de la vérité et de la réconciliation et à l’intégration de ces apprentissages dans ma pratique de l’urbanisme. J’ai l’immense privilège de vivre, de travailler et de me divertir sur les terres ancestrales, non cédées et territoriales du peuple Syilx Okanagan, et j’aborde mon travail avec un profond respect pour les environnements naturels et urbains que je contribue à façonner.

Biographie :

Barbara Everdene, UPC, MICU, est titulaire d’une maîtrise en urbanisme communautaire et régional de l’université de la Colombie-Britannique. Au cours de ses 25 ans de carrière, Barbara a dirigé un large éventail d’initiatives environnementales, sociales, économiques, d’aménagement du territoire et d’urbanisme autochtone dans les secteurs public, privé et à but non lucratif. Directrice d’Everdene Consulting, elle soutient les gouvernements locaux et régionaux ainsi que les associations industrielles en matière de développement économique et de marché inclusif et de l’urbanisme social. De 2021 à 2024, Barbara a occupé le poste d’urbaniste à long terme à la ville de Vernon et a innové en matière d’engagement inclusif pour le renouvellement du plan communautaire officiel. Elle a également dirigé le premier plan d’action en matière de logement et le premier plan communautaire adapté aux personnes âgées et aux personnes atteintes de démence de Vernon, fondé sur les principes de réconciliation, de justice, d’équité, de diversité et d’inclusion, et a été responsable de la mise en œuvre du plan d’action en matière de climat.

Avant d’occuper ce poste, Barbara a géré le programme d’accès à la justice et le fonds de règlement des différends environnementaux à West Coast Environmental Law pendant plus de dix ans. De 2007 à 2017, Barbara a travaillé au niveau international dans le domaine du développement communautaire au Moyen-Orient, en Asie centrale et en Asie du Sud, en aidant les entrepreneurs et les organisations communautaires à identifier et à développer des opportunités de marché dans divers secteurs. Barbara s’engage à s’allier et à établir des partenariats authentiques pour construire des communautés qui fonctionnent pour tout le monde.

Au cours de mes études supérieures, j’ai mené des recherches indépendantes, notamment un examen à l’échelle nationale de la législation provinciale, des politiques municipales locales et des plans relatifs à l’écologisation urbaine dans le contexte de l’adaptation au changement climatique et de l’atténuation de ses effets. Malgré les différences régionales en matière de climat, je suis fermement convaincue qu’en tant que Canadiens, nous devons collaborer et nous soutenir mutuellement pour trouver des solutions qui profitent à tous, et en particulier à ceux qui vivent dans les zones les plus touchées. Mon expérience municipale m’a permis de découvrir un large éventail de souhaits d’adaptation au changement. Elle m’a aidée à comprendre et à équilibrer les différentes perspectives et à recommander les solutions les plus soutenues. Mon intérêt pour le poste de directrice de l’ICU découle de ma passion pour l’influence et la direction de politiques et de plans qui amélioreront progressivement la vie des Canadiens pour les générations à venir.

Biographie :

J’ai immigré au Canada et je vis sur les terres ancestrales de la kʷikʷəƛ̓əm First Nation. Grâce à ma passion pour la nature et l’écologie urbaine, j’ai appris à connaître la gestion de l’environnement par les peuples autochtones depuis des temps immémoriaux. Bien que le travail de réconciliation soit un voyage personnel, sans soutien et encouragement formels, il peut être manqué. Mon expérience au sein de la ville de Vancouver a joué un rôle déterminant dans mon parcours de réconciliation et m’a permis d’approfondir ma gratitude pour les terres sur lesquelles je vis et travaille.

Je suis titulaire d’un baccalauréat en biologie de l’université Simon Fraser, d’une maîtrise en architecture paysagère de l’université de Guelph et d’un doctorat en foresterie urbaine de l’université de Colombie-Britannique. Je suis architecte paysagiste principale et mon expérience professionnelle comprend la planification d’équipements publics pour la ville de Hamilton, la ville de Vancouver et la ville de Coquitlam. En travaillant sur la stratégie relative aux toilettes des parcs de Vancouver, j’ai acquis une connaissance approfondie des besoins humains fondamentaux, des complexités sociales en jeu et des lacunes considérables auxquelles les villes sont confrontées dans la fourniture de services essentiels. En dirigeant la stratégie des centres communautaires de Vancouver, en appliquant un indice d’équité pour établir les priorités de rénovation des centres communautaires, j’ai mis en évidence les domaines dans lesquels des investissements étaient nécessaires. En travaillant sur le plan directeur des sentiers de Hamilton, j’ai appris à connaître les obstacles à l’accès aux sentiers et j’ai recommandé des solutions pour les réduire.

Région 7 : Atlantique

L’accent mis par l’ICU sur la réconciliation, l’équité, la diversité, l’inclusion et l’accessibilité est important pour moi et correspond à la façon dont j’aborde mon travail. Je m’engage à promouvoir ces principes dans le cadre de l’ICU et à soutenir les efforts de l’organisation pour obtenir des résultats importants.

Grâce à mon expérience de bénévole au sein de conseils d’administration et de comités, à ma collaboration à des projets et équipes interdisciplinaires et à ma connaissance des politiques publiques, je suis bien équipé pour contribuer à l’orientation stratégique de l’ICU. Je m’efforce également de mettre les nouveaux urbanistes en contact avec des opportunités de mentorat qui leur fournissent une base solide pour leur carrière. Je suis impatient de collaborer avec les autres membres du conseil d’administration pour faire avancer la mission de l’ICU et renforcer la profession d’urbaniste dans tout le Canada. Je pense que mon réseau et mon expérience de travail avec les urbanistes des quatre provinces de l’Atlantique me placent en bonne position pour représenter cette formidable région du Canada au sein du conseil d’administration de l’ICU.

Biographie :

Je suis urbaniste principal à la municipalité régionale de Halifax, où je me concentre sur la modernisation de l’utilisation des terres, l’engagement communautaire, la politique du logement et des transports, et la planification avec les communautés autochtones et les autres communautés qui ont droit à l’équité. Après six ans passés au sein d’une équipe formidable à la municipalité, je vais bientôt passer à un nouveau rôle au sein du gouvernement provincial, où je me concentrerai sur le soutien à la croissance du logement.

Fortement engagé en faveur d’un développement inclusif et durable, j’ai contribué à des initiatives d’urbanisme clés telles que le Centre Plan et le Suburban Plan, ainsi qu’à des politiques de logement à l’échelle de la région visant à améliorer la disponibilité et l’accessibilité des logements. Je participe également à l’animation d’un groupe de soutien par les pairs pour les candidats urbanistes de toute la province qui naviguent dans le processus d’obtention d’une licence professionnelle.

En dehors du travail, je m’implique activement dans ma communauté, en étant bénévole au sein des conseils d’administration de mon club de curling et de la ligue de curling queer. Je suis passionné par le renforcement des liens communautaires, en particulier dans notre monde post-pandémique. J’ai grandi dans une communauté rurale de la Saskatchewan, j’ai étudié l’urbanisme à Toronto et j’habite maintenant à Halifax (Kjipuktuk) avec mon partenaire Shane et notre chien Oliver.

Fellow

La croissance continue et la résilience de l’ICU sont importantes pour moi personnellement, pour la profession d’urbaniste au Canada et pour la société canadienne.

Biographie :

Beate Bowron est l’ancienne directrice de la planification communautaire de la ville de Toronto et possède plus de 30 ans d’expérience en matière d’urbanisme. Elle est présidente de Beate Bowron Etcetera, une petite société de conseil qui possède une vaste expérience en matière d’urbanisme communautaire participative, de gestion municipale, de développement économique local, de recherche de consensus et d’adaptation au changement climatique. Elle travaille au Canada et à l’étranger.

Beate est une facilitatrice expérimentée et une médiatrice formée, dont la pratique met l’accent sur la recherche de consensus afin d’éviter les litiges coûteux et les procédures judiciaires. En tant que directrice de l’urbanisme communautaire à la ville de Toronto (1998-2003), elle était responsable de toutes les fonctions d’urbanisme communautaire dans « l’ancienne » ville de Toronto. Plus récemment, Beate a été chef de projet et responsable de la participation du public dans un certain nombre de révisions des limites des quartiers municipaux et des zones de tutelle en Ontario.

Dans le cadre des travaux novateurs de l’ICU en matière de planification de l’adaptation au changement climatique, Beate a été responsable de projets de planification de l’adaptation au changement climatique dans la région de l’Atlantique et au Nunavut, dans l’Arctique canadien. Son expérience internationale, dans le cadre de diverses fonctions de conseil, couvre la Chine, la Guyane, l’Afrique du Sud, l’Éthiopie, le Viêt Nam, les Philippines et l’Ukraine. Ses projets ont porté sur la participation du public, l’urbanisme stratégique, le changement climatique, le développement du tourisme et les villes et régions durables et résilientes.

Actuellement, Beate aide les groupes communautaires à naviguer dans le labyrinthe de l’urbanisme de Toronto et de l’Ontario.

Directeur général

Cette série d’expériences m’a fait prendre conscience de la nécessité d’un soutien, d’une protection et d’une sécurité accrus pour les urbanistes chargés de travailler au sein d’équipes et de communautés extrêmement complexes, litigieuses et en constante évolution, sans craindre de représailles ou de rétribution pour un travail d’urbanisme éthique, légal et fondé sur des valeurs. Dans le cadre de mon engagement envers la profession et les Canadiens, je m’engage à défendre les points suivants en tant que directrice générale :

• ● donner la priorité à la santé et à la sécurité de l’urbaniste individuel et de l’environnement de l’urbanisme;
• ● le retour sur investissement pour l’obtention d’une licence, y compris le développement professionnel à un coût faible ou nul; et
• ● de plus grandes possibilités d’avancement, de promotion et de mentorat tout au long du cycle de carrière en urbanisme.

Biographie :

J’ai vécu, travaillé, voyagé et étudié dans 9 des 13 provinces et territoires du Canada. Je suis une fonctionnaire de quatrième génération qui a travaillé dans cinq municipalités réparties dans trois provinces. En tant que planificatrice des transports et titulaire d’une licence UPC / MICU, j’ai travaillé sur des projets d’envergure, de complexité, d’échéances et de budgets variés, allant de 500 dollars à 5 milliards de dollars. J’ai de l’expérience en matière d’urbanisme dans les petites communautés rurales étendues, les villes moyennes du nord et les centres urbains denses. Je suis également formée aux études sur les femmes et l’égalité des sexes, et j’ai travaillé le long de la Route des larmes en faisant de la réconciliation avec les Autochtones la pierre angulaire de ma pratique de l’urbanisme. Je suis une ancienne élève du Programme des leaders émergents de l’Institut canadien des urbanistes (2021), de l’Institut des leaders du changement (2017) et du Forum de Rideau Hall pour les jeunes Canadiens (2006). J’ai représenté le Canada au sein du comité du réseau directeur des jeunes urbanistes de la Commonwealth Association of Planners de 2020 à 2022, et j’ai été coprésidente du sous-comité de coopération internationale. J’ai également occupé des postes élus et nommés dans plusieurs syndicats à travers le Canada en tant que syndic, délégué syndical et vice-présidente.

Je suis également copropriétaire d’une petite entreprise locale située dans l’une des régions les plus pauvres, les plus criminalisées et les plus privées de droits du pays, mais qui fonctionne depuis 21 ans sur deux sites et continue de servir dans des zones où la plupart des Canadiens ne s’aventureraient pas. J’occupe de nombreux rôles et j’ai de multiples responsabilités, mais mon rôle le plus important est mon devoir envers le public canadien. Pour en savoir plus, consultez le site ChampaMaduranayagam.com.

En tant qu’urbaniste en exercice, femme de couleur et immigrée, je peux parler de mon expérience vécue pour éclairer la mise en œuvre de la « Feuille de route pour l’équité, la diversité et l’inclusion » de l’ICU, y compris ce qui m’a attirée dans la profession, les obstacles auxquels j’ai été confrontée et ce qui m’y a retenue. J’ai une expérience antérieure en matière de conseil et de politique de l’EDI, et je connais la valeur de ce travail; la profession profite immensément d’un effort actif pour recruter et retenir les urbanistes sous-représentés. La feuille de route reconnaît avec justesse que ces efforts ne peuvent se limiter à un niveau individuel, mais qu’ils doivent être ancrés à un niveau structurel.

L’ICU étant le défenseur national de la profession d’urbaniste, je sais que le volet gouvernance et politique est essentiel pour promouvoir une culture diversifiée et inclusive, et je suis impatiente de m’atteler à la tâche.

Biographie :

Raida Chowdhury (BES) est membre candidat de l’Institut canadien des urbanistes et diplômée de l’école d’urbanisme de l’université de Waterloo. Elle travaille en tant qu’urbaniste chez Nethery Planning, où elle se concentre sur des projets de politique d’aménagement du territoire à travers l’Ontario. Elle a précédemment travaillé dans le domaine de l’urbanisme municipal à la ville de Kitchener, ainsi que dans le domaine de la politique provinciale et de la recherche à l’Assemblée législative de l’Ontario.

Tout au long de sa carrière universitaire, Raida a défendu les initiatives en matière d’équité, de diversité et d’inclusion. De 2021 à 2023, elle a été membre du comité EDI de l’École d’urbanisme, où elle a aidé à établir et à mettre en œuvre la première déclaration de valeurs de l’École, en collaboration avec les étudiants et le corps enseignant. Elle a également été consultante EDI pour le Centre de développement de carrière de l’université, où elle a aidé le Centre à réécrire un cours de développement professionnel lié à l’équité sur le lieu de travail. Pendant plusieurs trimestres, elle a été assistante d’enseignement et mentor de ses pairs, ce qui lui a permis de bénéficier d’opportunités de mentorat formel et informel avec d’autres étudiants marginalisés, en particulier des femmes de couleur.

Elle est partisane d’une politique (d’urbanisme) progressiste, comme en témoigne son travail en faveur de l’élargissement des autorisations de logement dans la ville de Kitchener. Elle est également un membre actif de sa communauté en tant que bénévole pour des organisations de justice environnementale et de justice en matière de logement. Tant sur le plan professionnel que personnel, Raida croit au devoir d’aider à favoriser des environnements et des communautés équitables.