Le quartier British Properties situé dans le district de West Vancouver, en Colombie-Britannique, a historiquement placé des clauses restrictives sur les parcelles résidentielles qui interdisent la vente de terrains à des personnes de certaines races. Pendant des générations, il était illégal pour toute personne “d’origine africaine ou asiatique” de posséder une maison dans cette région. Pour déterminer les impacts spécifiques, Julia Tippet, Laura Clark, Annie Girdler et Skye Bell ont procédé à une analyse documentaire qui a révélé que les clauses restrictives raciales font partie des multiples façons dont le pouvoir légalisé perpétue la suprématie blanche. Les étudiants-chercheurs recommandent, par le biais de cette présentation, de réagir en reconnaissant le racisme et la complicité, en présentant des excuses sincères et en s’alliant. Il est essentiel de s’attaquer au racisme et à ses vestiges dans les politiques et la planification communautaires pour élaborer des stratégies holistiques de renforcement de l’équité.


Julia Tippet, Laura Clark, Annie Girdler et Skye Bell sont toutes étudiantes à l’université de l’île de Vancouver dans le cadre du programme de maîtrise en planification communautaire. Ils viennent tous d’horizons académiques différents. Ils se sont réunis pour travailler sur ce projet lorsque leur professeur leur en a présenté l’opportunité, car ils sont tous passionnés par la transformation de leurs communautés en espaces équitables, justes et équitables pour tous.